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L’acceptation  n’est t’elle pas le signe de l’espoir et du progrès?

Si elle nous demande de faire preuve d’agilité envers les défis de l’existence ne présuppose t’elle pas l’idée d’une certaine distance avec cette dernière ?

Si toute expérience scientifique née par une acception pleine et entière de ce qui est au présent afin d’envisager « l’innovation » . L’acception ici présuppose une amélioration possible en vue d’un progrès à venir pourquoi l’acceptation est t’elle un exercice si périlleux dans notre vie quotidienne ?

Nous demandant de perdre quelque chose sur l’instant elle pose néanmoins l’hypothèse que cela est pour le meilleur , alors pourquoi ce pari est t’il si difficile ?

Si   il s’agit en de faire entendre qu’une vision plus vaste de ce qui nous est donné à voir est en quelque sorte « déjà » présente, il s’agirait d’une sorte d’un pari « pascalien » , créant implicitement deux types d’équipe ( a savoir ceux qui y croient et ceux qui n’y croient pas).

Si il est aisé de comprendre que lorsque l’on accepte ce qui vient , il ne s’agit pas d’une résignation tranquille mais plutôt d’une certitude du rôle de cette épreuve dans notre cheminement ( tout comme le serait un test scientifique) bizarrement relativiser nos capacités d’action sur l’instant et parier sur quelque chose de bien plus grand, peut vite se transformer en véritable défi , ne serait ce que par l’humilité ( et par la même de remise en question ) que cela cause en nous même .

A la fois  tant face à ce qui peut être qu’à l’égard de ce qui nous est donné à voir dans le présent.
Face au contraste entre ces deux visions et tenant compte du fait qu’au fil des années cet espoir peut s’éteindre . Il n’y a qu’un pas pour laisser place  à une résignation palpable, plus ou moins consentie mais qui néanmoins « protège » des  déceptions mais par la même fair de nous des automates.

Tout comme un robot mixeur, nous fonctionnons avec un certain nombre de programmes et gare à la mauvaise utilisation des ustensiles !

En faisant cela, n’oublions nous pas la vocation même de notre nature ? 

Si la  nature humaine a de particulier et de vocation de se perfectionner dans l’adversité, comment alors apprendre  et évoluer sans épreuves ni challenge ?

Si l’absence de  contraintes reste une utopie agréable , en quoi  permet  t’elle  l’amélioration et l’apprentissage ?

S’adapter à un monde qui change en permanence ne nous demande t’il pas d’optimiser notre nature  ?

Si tel est le cas,  l’acceptation ne serait t’elle pas le corollaire de notre humanité?

#acceptation #evolution #naturehumaine #epreuve #perfectibilite #voyage #grandir #espoir #adpation #agilite #faireavec #sincliner #sereveler 

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Art et Pouvoir

Selon vous, l’Art est-il un outil du pouvoir ou bien un moyen de résistance ?

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La cruauté est t’elle un handicap ?

On parle beaucoup d entreprises toxiques , de pervers narcissiques et le vocabulaire nous offre tout une gamme d’expressions fleuries pour justifier les logiques interactionelles au sein de nos organisations, mais ces phénomènes ne sont t’il par l’expression de certaines pratiques de notre civilisation?

Cette cruauté, est -elle la reproduction d’un héritage ou bien le signe d’une souffrance plus profonde ? Si l’expérience de Milgram la pose comme tendance “naturelle”, ses multiples variantes ne seraient donc que l’illustration d’un mal plus profond?

On apprend que le mot « esclave » vient de la traite des peuples slaves sous le haut Moyen Âge et que Verdun n’a pas attendu la Grande Guerre pour devenir le théâtre d’une boucherie infâme…

PPRISCILLE LAMURE, DRÔLE(S) D’HISTOIRE(S), CABINET DE CURIOSITÉS HISTORIQUES ET DÉJANTÉES, Editions du Tresor, 2018

De la soumission à l’ impuissance, la culture de l’entreprise bien loin de celle affichée sur ses différents engagements, devient alors le symbole d’un lieu de souffrance et de reproduction des pires facettes de notre humanité.

C’est généralement a ce moment ou l’on va faire appel à mes services. Outre la réflexion historique proposée dans cet article, la prise de conscience des entreprises “bienveillantes” se posera comme une prise de conscience de ses ambitions face aux moyens quelle met en oeuvre pour y parvenir, à savoir son fonctionnement.

Après un ou deux procès, j’entendrai dans les entretiens des phrases du type :

« Tout le monde savait dirions nous ! Mais nous ne pouvons pas .. ».

La culture de la peur a l’égard de ces personnes qualifiées par Levinas comme “sans visages” permet de mieux appréhender leurs souffrances.

La souffrance des “sans visages” étant entretenue culturellement et générée par une lourde structure administrative n’est pas « très » propice a la transparence et à la confiance ainsi le silence reste de mise et le système de reproduction de la cruauté se poursuit. La violence devient ainsi un mode d’interaction comme un autre.

Néanmoins ce phénomène n’est pas nouveau, si nous l’avons tous côtoyé, nous entendons régulièrement les aventures de ceux qui autour de nous travaillent dans « un panier de crabes ».

Lorsque les sociétés de conseil évaluent les coûts financiers et humains de ces « tyrans » tout porte à croire qu’une psychothérapie individuelle (1) aurait été plus appropriée, mais comment proposer une telle prise en charge?

Est ce vraiment le rôle des entreprises d’orienter ses salariés vers des structures psychiatriques?

Comment la prévention des risques pssycho-sociaux peut-elle apporter une réponse à ce dileme?

Si le silence est de mise, car personne n’aime s’entendre dire qu’il doit “consulter” comment alors faire entendre cette souffrance qui habite ceux qui l’a font subir ?

Quel lien pouvons nous observer entre la souffrance qui se taie et la violence par laquelle elle se manifeste.

Si il est aisé de realiser un audit , (car au de la des conséquences juridiques, c’est surtout la repercussion sur la production qui sont ici visés ). En revanche , la question ici serait de savoir si la culture du tyran, en tant que mode de soumission et se manifestant comme une violence quotidienne, est un handicap pour l’entreprise et les institutions ?

Ou si au contraire, n’étant que la face “sombre” de notre humanité, ne se contentant que de “reproduire” notre culture, s’intégrant parfaitement dans le paysage , pouvant même améliorer les performance de l’organisation?

(1) Si on nous demande de « détecter » le tyran cela ne peut se faire sans un accompagnement psychologique.

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Le mois de l’égalité

Événements Paris Sorbonne
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Semaine du cerveau

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Evenement

Chef d’orchestre de notre organisme, le cerveau nous livre peu à peu ses secrets. Son implication dans tous nos faits et gestes, dans notre humeur, dans la réalité de notre quotidien fascine toujours autant les scientifiques. 

En 2025, Neuroplanète fêtera dix ans de succès et inscrira une partie de sa programmation dans la dynamique scientifique créée par l’organisation de l’UNOC à Nice en juin. En marge des conférences, des ateliers proposeront au grand public de mieux comprendre et d’appréhender le fonctionnement et les mécanismes du cerveau. “ 

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La deception

Peut t’elle être le socle de l’espérance?

C’est ce que nous allons découvrir cette semaine dans Questions de vie

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Philosophie Action

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Venez incarner la philosophie !

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L’honneur

Qu’est ce que l’honneur?

Comment prend t’elle place dans notre quotidien?

C’est ce que nous allons explorer cette semaine dans questions de vie !

La chanson de Roland.

Crédits : ©Luisa Ricciarini/Leemage

Droits d’auteur : ©Luisa Ricciarini/Leemage

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Le bonheur comme idée

Cette semaine dans questions de vie nous allons réfléchir sur l’idée de bonheur !

#questionsdevie#radioecclesia#Philosophie#challenge#agathevidal